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Présidence de l'UPBM, depuis la fondation en 1972.

L'association doit beaucoup à ses présidentes et président successifs, qui n'ont cessé d'animer et d'impulser, de faire la synthèse, de porter parfois à bouts de bras dans les creux de la vague, l'association et ses activités. Qu'ils et qu'elles en soient remercié/e/s ! Petits portraits hagiographiques de ces émérites...

Marie JIDENKO

Marie JIDENKO est présidente depuis décembre 2020. Elle était déjà active au sein de la présidence élargie depuis plusieurs années, notamment en représentant avec brio l'UPBM auprès d'interlocuteurs institutionnels, que ce soit le Ministère ou la fédération Biogée.

Marie PANTALONI

Marie PANTALONI a été présidente de l'UPBM de janvier 2015 à décembre 2020. Sa présidence a été marquée par la réforme "Blanquer" du lycée, et les audiences réussies au Ministère, dont la commission Mathiot. On retient de la présidence de Marie une grande capacité à proposer un consensus harmonieux, toujours dans le sourire et la bonne humeur, et à animer un bureau collégial et vivant.

Sylvain ANDRÉ

Sylvain ANDRÉ a été président de 2012 à 2014, mais il a contribué de nombreuses années au fonctionnement du bureau, par exemple en prenant en charge les annales du BTS Biotechnologie. Sylvain a marqué sa présidence par son sens de la synthèse collégiale, sans heurt mais tout en humour et calembours ; sa présidence a également été l'occasion d'une refonte des statuts.
Sylvain a quitté le bureau mais continue d'animer les sections biotechnologiques puisqu'il est devenu inspecteur ; il reste un fidèle des congrès de l'association où il retrouve les collègues avec un plaisir non feint.

Jean-Paul BRUNET

Jean-Paul BRUNET a été président de 2008 à 2012, et a eu la lourde tâche de succéder à l'excellente Christine SCHNEIDER. On retient de sa présidence une gestion toute en pondération, et la réussite des échanges avec le cabinet du ministre (notamment le conseiller Érick ROSER) lors de la rénovation du lycée et la mise en place du bac 2013, qui a vu les BGB évoluer vers la dénomination "Biotechnologies", mais aussi la STL échapper à une phagocytose par les SPC. Sous sa présidence, le bureau a fait le choix de s'inscrire dans une démarche constructive lors des travaux de rénovation, quand bien même le doute fut parfois permis ; la suite aura donné raison aux orientations retenues par le bureau, avec des mois de travail à la réécriture des programmes en parallèle avec l'inspection, sous la commande de la DGESCO. Jean-Paul a continué de servir, en collaborant à l'édition des annales ABM ou en assurant une curation remarquable sur le web.

Christine SCHNEIDER

Christine SCHNEIDER fut la première femme présidente de l'UPBM, de 2002 à 2008, et elle fut aussi celle qui succéda à la longue présidence de Jean-Noël JOFFIN. Christine instaura une modernisation des statuts avec la limitation du renouvellement du mandat de président, et présida l'association dans un esprit collégial, tout en finesse, attentive au groupe. Elle anima plusieurs rencontres auprès du ministère notamment dans le cadre d'un projet de rénovation finalement avorté de la STL, mais aussi de la rénovation de la SMS en ST2S (le nom fut l'objet d'une audience au cabinet du Ministre, avec le conseiller Jean-Louis NEMBRINI).
Christine continue de prendre activement part à la vie du bureau, toute en discrétion efficace.

Jean-Noël JOFFIN

Jean-Noël JOFFIN aura incontestablement marqué l'histoire de l'UPBM : président pendant 18 ans (de 1984 à 2002), Jean-Noël porta l'association en assurant en plus de la présidence d'innombrables tâches éditoriales (annales et livrets techniques, trimestriel) comme numériques. Cet homme-orchestre sut aussi le moment venu recruter quelques mémorables talents pour assurer la pérennité de l'association tout en continuant à œuvrer à ses missions éditoriales : on peut dire que L'OPÉRON, c'est une moitié de Jean-Noël JOFFIN et une moitié de Jean-Pierre GUÉHO. La légende dit que l'homme qui ne dormait que 4h par nuit n'aurait rien pu faire sans son incroyable épouse Christiane, présidente de l'ombre...

Jean-Pierre GINIÈS

Jean-Pierre GINIÈS présida l'UPBM de 1980 à 1984 ; il développa l'UPBM dans la transparence et la collégialité. On retient de sa présidence son humour pétillant et son intelligence affutée. Jean-Pierre sut recruter au sein du bureau les talents qui permirent à l'association de continuer sa croissance et de consolider ses ressources éditoriales ; Jean-Pierre a également exercé de nombreuses autres fonctions au sein du bureau.
De temps à autre, Jean-Pierre fait une apparition aux congrès... et c'est toujours un plaisir de se laisser séduire par son esprit brillant.

Jacques QUÉVAL

Jacques QUÉVAL fut président de 1973 à 1980 ; Jacques fut le premier président élu de l'UPBM, lors de la première AG de 1973, après un bureau constitutif provisoire dont Jacques était le vice-président. Ce père fondateur fut celui qui permit le développement initial de l'association, dont la fécondité ne s'est jamais trouvée démentie.
Lors des 40 ans de l'UPBM à Lyon, l'association retrouva avec plaisir Jacques, qui avec les président(e)s ultérieur(e)s coupa le gâteau d'anniversaire.

Jean MOULIN

Qui l'eut crû ? Le premier président de l'UPBM portait un nom illustre - l'esprit de "Combat" est dans les gènes de l'association depuis l'origine. Jean fut président provisoire l'année de la création, jusqu' à la première Assemblée Générale qui vit élire Jacques QUÉVAL ; Jean continua de participer activement à la vie du bureau où il exerça alors les fonctions de vice-président.
Jean nous a quittés en 1989.

Jean-Pierre GUÉHO

On ne peut pas parler des présidents sans enfin dire un mot de celui qui a porté depuis sa création et pendant preque 50 ans (une vie !) notre revue chérie... Jean-Pierre GUÉHO fut rédacteur en chef de L'OPÉRON, depuis l'origine (1972) jusqu'à 2002, où il céda la place à Jean-Noël JOFFIN... pour en réalité continuer à s'occuper méticuleusement de chaque numéro. Jean-Pierre recruta en 1996 un jeune graphiste, Cédric PIGOT, pour lancer une nouvelle maquette qui préfigura la nouvelle série de la revue.
Chaque numéro qui arrive dans vos boites a ainsi été pendant presque 50 ans l'œuvre de ce passionné, exigeant, méticuleux, qui travaillait et retravaillait avec les rédacteurs et le graphiste jusqu'à la place de chaque virgule.
 
Jean-Pierre a finalement passé la main en 2020.